Et voilà, le concert est terminé, et je suis encore sous le charme de ce spectacle dense et intense. Après ma journée de travail à Rueil-Malmaison, qui s’est finie à 17 heures 30, je prends le bus puis le RER A en direction du Palais Omnisport de Paris-Bercy, pour assister à ce show auquel j’ai failli échapper, ce qui m’a donné d’ailleurs bien des sueurs froides ! En effet, voulant réserver par Internet, je me suis trouvé devant des sites qui indiquaient tous que le concert était complet – c’était en février ; je me suis finalement rendu à Bercy en désespoir de cause, et l’hôtesse du guichet m’a indiqué qu’il restait… 5 places à vendre le jour où je me suis déplacé ! Inutile de dire que je n’ai pas fait la fine bouche, et j’ai acquis mon précieux passe au prix de 46 euros, sans trop savoir où j’allai être placé. Je sais par expérience que Bercy est une salle gigantesque, et je me doutais que ce spectacle aurait un goût différent de mes précédentes expériences, plus intimistes pour cause de salle plus petite et d’un placement ad hoc. J’avais en effet assisté à la dernière tournée de Mark en 2oo1 (ainsi qu’à celle de 1996, du reste) lors de la sortie de son album Sailing to Philadelphia, au Zénith, deux soirs de suite, dans la fosse devant la scène, donc aux premières loges, ne perdant rien du fabuleux jeu de guitare du sultan du swing…