 Lundi 22 janvier 2007. Journée á Saint-Lazare, assez cool. Je termine vers 15 heures 30 mais je dois passer par ma boîte pour prendre des dossiers en vue de faire passer un test linguistique pour un VIP le jeudi suivant. Du coup, arrivé rue de Tilsitt, je m'octroie une petite pause en compagnie de Sém, et je lui propose de la dépanner en allant porter un paquet á la Poste de la rue Balzac, non loin de notre société, puisque cela l’embête de le faire. Cette petite course me prend une vingtaine de minutes, et me permet de m’aérer un tantinet. De retour, comme il se fait déjá presque 17 heures 15, nous convenons d’aller boire un verre au Café Latéral tout prés. Je pars devant, et Sém me rejoint aprés un assez long temps d’attente, que je passe á feuilleter la presse du jour. Sém arrive enfin, me permettant enfin de commander et, partant, d’étancher ma soif. Je la préviens que je dois partir á 19 h 15 maximum afin d’arriver á temps á un rendez-vous fixé á l’Olympia. Donc Sém et moi discutons de choses et d’autres, et nous sommes rapidement rejoints par Amia et Juliette, en ordre dispersé. J’apprécie décidément ces moments de franche camaraderie, ces instants lénifiants qui permettent de soulager la pression du boulot et le stress afférent – même si je ne suis pas celui de notre petite assemblée qui souffre le plus du stress... Vers 19 h 15, je glisse un billet de 5 euros sous mon verre et je léve l’ancre ; je mets les voile en direction de L’Olympia, avec dans les oreilles une excellente reprise par Foo Fighters et Brian May du titre de Pink Floyd, Have a Cigar.
Lundi 22 janvier 2007. Journée á Saint-Lazare, assez cool. Je termine vers 15 heures 30 mais je dois passer par ma boîte pour prendre des dossiers en vue de faire passer un test linguistique pour un VIP le jeudi suivant. Du coup, arrivé rue de Tilsitt, je m'octroie une petite pause en compagnie de Sém, et je lui propose de la dépanner en allant porter un paquet á la Poste de la rue Balzac, non loin de notre société, puisque cela l’embête de le faire. Cette petite course me prend une vingtaine de minutes, et me permet de m’aérer un tantinet. De retour, comme il se fait déjá presque 17 heures 15, nous convenons d’aller boire un verre au Café Latéral tout prés. Je pars devant, et Sém me rejoint aprés un assez long temps d’attente, que je passe á feuilleter la presse du jour. Sém arrive enfin, me permettant enfin de commander et, partant, d’étancher ma soif. Je la préviens que je dois partir á 19 h 15 maximum afin d’arriver á temps á un rendez-vous fixé á l’Olympia. Donc Sém et moi discutons de choses et d’autres, et nous sommes rapidement rejoints par Amia et Juliette, en ordre dispersé. J’apprécie décidément ces moments de franche camaraderie, ces instants lénifiants qui permettent de soulager la pression du boulot et le stress afférent – même si je ne suis pas celui de notre petite assemblée qui souffre le plus du stress... Vers 19 h 15, je glisse un billet de 5 euros sous mon verre et je léve l’ancre ; je mets les voile en direction de L’Olympia, avec dans les oreilles une excellente reprise par Foo Fighters et Brian May du titre de Pink Floyd, Have a Cigar.
 Arrivée á l’Olympia. Cela fait une petite éternité que je n’y était pas revenu. Je retrouve avec plaisir les néons carmin signalant les artistes du soir, le grand hall tout de rouge vêtu, l’ambiance unique de ce haut lieu musical, déménagé il y a une dizaine d’années á quelques métres de son emplacement originel. Je retrouve sur place quelques Peupladiens, dont Thierry, qui nous fait bénéficier de places gratuites pour voir un groupe de moi inconnu : Les Joyeux Urbains, qui ne susciteront effectivement pas la morosité ! Nous sommes 7, et nous prenons finalement place dans une rangée tout en haut des gradins. La premiére partie est assurée par David
Arrivée á l’Olympia. Cela fait une petite éternité que je n’y était pas revenu. Je retrouve avec plaisir les néons carmin signalant les artistes du soir, le grand hall tout de rouge vêtu, l’ambiance unique de ce haut lieu musical, déménagé il y a une dizaine d’années á quelques métres de son emplacement originel. Je retrouve sur place quelques Peupladiens, dont Thierry, qui nous fait bénéficier de places gratuites pour voir un groupe de moi inconnu : Les Joyeux Urbains, qui ne susciteront effectivement pas la morosité ! Nous sommes 7, et nous prenons finalement place dans une rangée tout en haut des gradins. La premiére partie est assurée par David  A la sortie, aprés deux ou trois rappels de folie (de nombreux fans se trouvaient dans la salle), nous marchâmes un peu dans le froid et trouvâmes un abri bienvenu sous la forme d’un pub irlandais des environs. Au bar, une demi-douzaine d’avinés anglo-saxons poussaient la chansonnette á tue-tête, tandis que la musique de fond était tirée de l’album Brothers in Arms, de Dire Straits. Pas mal. Je commandais une Edelweiss et notre petit groupe resta une bonne heure á discutailler avant de tailler la route pour cause de Métro á prendre. Nous nous séparâmes en deux groupes, puis trois. Sophie et moi-même prirent la Ligne 8 jusqu’á La Motte-Picquet, et je parcourais les derniéres centaines de métres á pied en écoutant Alone, du groupe BuckCherry, dans un froid glacial et polaire. Arrivée-Maison á 2 heures. Couché-Lit á 2 heures 10 !
A la sortie, aprés deux ou trois rappels de folie (de nombreux fans se trouvaient dans la salle), nous marchâmes un peu dans le froid et trouvâmes un abri bienvenu sous la forme d’un pub irlandais des environs. Au bar, une demi-douzaine d’avinés anglo-saxons poussaient la chansonnette á tue-tête, tandis que la musique de fond était tirée de l’album Brothers in Arms, de Dire Straits. Pas mal. Je commandais une Edelweiss et notre petit groupe resta une bonne heure á discutailler avant de tailler la route pour cause de Métro á prendre. Nous nous séparâmes en deux groupes, puis trois. Sophie et moi-même prirent la Ligne 8 jusqu’á La Motte-Picquet, et je parcourais les derniéres centaines de métres á pied en écoutant Alone, du groupe BuckCherry, dans un froid glacial et polaire. Arrivée-Maison á 2 heures. Couché-Lit á 2 heures 10 !