Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

rugby

  • Histoire de COUPS (2/3)

    Samedi 13 octobre 2007, levé vers 9 heures, et programme chargé : 10 heures, jogging hebdomadaire au parc Georges Brassens, suivi d’une dictée organisée dans le cadre des Journées Georges Brassens, suivi d’un apéro dans le parc, au cours duquel j’ai l’occasion de discuter longuement avec la Directrice de la Maison des Associations du Quinzième. 1923977919211f86f2df55d711808eba.jpgAlors que je m'apprêtais à rentrer, je me fais gentiment alpaguer par un pilier de comptoir Peuplade, et nous allons boire des coups au 100KG, où nous faisons la connaissance de plusieurs autres personnes hautes en couleurs, avec qui nous buvons encore des coups et discutons comme on peut le faire, accoudés à un bar. Je repars chez moi en vélo, sans trop zigzaguer, pour le coup, et je mange un bout avant que de faire une petite sieste. Un peu avant 18 heures, je repars en vélo pour le même parc, bois un coup avec Adela au Baranimo en attendant Curriculum et Vitae, afin d’assister au Bal populaire (vraiment pas très intéressant) ; du coup, je retourne au 100KG pour boire un coup, toujours en compagnie de CV, et d’Adela. Je prends un excellent jus de pamplemousse, à défaut d’une mousse. Retour en vélo sans coup férir ni passer par la case Maison, puisque je suis attendu chez mes amis Khazâd et Lydia de Paris15 pour voir le match de rugby ; Sandra m’y accompagne, qui avait passé l’après-midi avec une amie. Nous nous retrouvons au Métro Cambronne, lieu de rendez-vous fort adapté dans le cadre des Journées Georges Brassens dont le thème est Les Gros Mots ! Nous passons une belle soirée, j’avais apporté une bouteille de rouge marocain, achetée en coup de vent, et nous buvons des coups tout en dégustant de bonnes pizze, alors que les rugbymen français dégustent aussi, et se prennent des coups aussi, mais sur la pelouse du Stade de France… Le match fut moins palpitant que la semaine passée, et le score, sans appel. Coup dur. Sous le coup de l'émotion, je raccompagne Sandra jusqu'à Émile-Zola et arrive chez moi vers 00:30. Dormir un bon coup me fera du bien.