Jeudi 24 janvier 2007. Je passerai sur ma journée professionnelle, qui m’a vu me rendre à La Défense pour y faire passer des Audits d’anglais auprès de Directeurs haut placés, donc VIP ; j’ai cependant retenu leur gentillesse et leur disponibilité et leur appréciation quant à mon travail ! Quant à la froidure des espaces venteux et glacials du fameux quartier d’affaires aux portes de Paris, je ne l’évoquerai pas, par crainte de frissonner rien qu’en y repensant ! Je rentre chez moi vers 18 heures 30, et je réceptionne un appel de détresse de Marion, qui est engluée dans la fabrication de calendriers destinés à être vendus lors de la Fête de l’Ecole, elle-même organisée en vue de réunir des fonds pour financer le départ en Classe de Mer, fin avril. Or, la main d’œuvre se faisant rare, Marion ne dirait pas non à un petit coup de main, que je lui avais du reste préalablement proposé lors d’une pause café prise la veille au Disque Bleu. Je me retrouve donc en route pour la rue Dupleix, encore affublé de mon costume-cravate, pour un atelier surprise de fabrication de calendriers !!
Bon, il se trouve qu’entre-temps un des parents d’élève s’est porté volontaire pour cette belle activité, et quand je suis arrivé, je n’eu pratiquement plus qu’à compter les calendriers déjà réalisés… Mais bon, si l’on m’avait dit qu’un jour je retournerais à l’école !! Du coup, je fais connaissance avec le Directeur et sa fille, et Marion me propose d’aller boire l’apéro pour me récompenser de mes efforts surhumains. Nous allons donc tous deux boire deux Kirs au Café Atome, et je passe là un excellent moment à discuter de choses et d’autres dans une bonne humeur et une légèreté bienvenues. Vers 21 heures, nous nous séparons au niveau de la rue de Lourmel, Marion rentre chez elle, et moi je file dans le froid jusqu’au Café L’Angle, où ma copine Betty joue ce soir, toujours accompagnée des infatigables Luc et Roberto. Bien que frissonnant et fatigué, je ne veux pas manquer de passer les voir. Or, une fois sur place, il se trouve que le lieu est plein à craquer, et donc je ne m’attarde pas. Mais je ne pars pas sans avoir salué Betty et consorts. Content de rentrer chez moi après être passé par le Charly Birdie, histoire de confirmer le rendez-vous du lendemain.