... mon compte est bon ! De retour d'une belle soirée à l'UNESCO (dans le cadre de la semaine irakienne), et après un passage chez mes amis du Comptoir en (bonne) compagnie des inévitables Curriculum et Vitae, je trouve à peine la force de publier un post sur Paris15 et de rédiger cette brève note...
J'ai bossé á Saint-Lazare en ce frigorifiant lundi 12 novembre 2007, j'ai fait pas mal de boulot administratif, scotché á mon bureau jusqu'á 18 heures, puis je suis parti pour l'UNESCO pour assister á une série de prestations musicales dans le cadre de la Semaine Irakienne. J'ai rejoins quelques Peupladiens dans un café des environs, le temps de se réchauffer un tantinet, puis nous avons gagné la gigantesque Salle 1 de l'UNESCO, celle-lá même qui est filmée dans le film The Interpreter, avec Nicole Kidman. Belle soirée, riche de cultures différentes, de sensations musicales variées (piano, oud, harpe...) et de chaleur humaine. Les concerts ont débuté vers 20 heures 30, pour s'achever aux environs de 23 heures.
Curriculum et moi-même avons ensuite rejoins la ligne de bus 80 afin de rallier le sud du Quinziéme et notre fameux spot récurrent (j'ai nommé Le Comptoir), afin de retrouver notre amie Vitae, fraîchement reviendue d'un séjour roboratif en Dordogne. A notre arrivée, le boss m'a du reste indiqué que l'article que j'avais pondu en vue d'une publication sur Paris15 lui agréait, ce dont je me suis réjouis. J'avais d'ailleurs posté ledit article dans ces pages en avant-premiére... Pour fêter ça dignement, chacun de nous eut droit á plusieurs rasades de rhum, et nous pûmes ainsi deviser trés agréablement et gaiement avec Claude, qui, sur le point de partir lorsque nous sommes arrivés, tînt á rester pour nous offrir un (non, deux) (non, trois) quelques verres... Merci á lui. C'est pour ça aussi que nous aimons notre Comptoir... Sur le coup de 1 heure et quart du matin, nous assistons, désolés, á l'extinction des feux et á la consécutive mise en place du rideau de fer (qui nous tire une larme de dépit), nous saluons Claude avec une effusion qui doit certainement autant á notre plaisir toujours renouvelé de le rencontrer et á la tristesse afférente de ne plus voir son rhum de le quitter qu'á la quantité d'alcool se baladant dans notre sang, puis nous regagnons nos pénates respectives, du mieux que nous pouvons, c'est-á-dire, en ce qui me concerne, en zig-zag 15 minutes top-chrono, un excellent titre des Scorpions dans les oreilles... Arrivée á 1 heure 30, vérification des méls, un peu d'écriture, et zou !