Je suis rentré de mon
week-end pascal hier soir vers 22 heures, après un trajet allongé d'une heure pour cause de suicide sur la voie de mon Nevers-Paris, ce qui m'a permis de terminer mon bouquin -
Le Pouvoir de l'Instant Présent, tout à fait de circonstance - et de me reposer un peu dans le train immobilisé en pleine campagne... Je ressors de ce week-end au vert près de Nevers requinqué, reposé, ayant bien profité de (presque) toute ma famille (même le chat
Pooka était là, qui fit les trajets aller et retour sans se départir d'un calme olympien, et dont tout le monde est (re)tombé amoureux) et ayant fait bombance sans exagération, sans parler des obligatoires chocolats de Pâques, ingurgités en quantité mais sans non plus d'effets secondaires malencontreux...
Point de crise de foie en cette période hautement spirituelle. Lors de ce week-end, j'ai d'ailleurs appris incidemment que Pâques célèbre la mort puis la résurrection de Jésus, première nouvelle, merci ! Je l'eu probablement su, mais cette connaissance était retombée dans les limbes de ma non pratique religieuse - et, du reste, dans les limbes de mon non intérêt pour la chose religieuse en général ; le bouddhisme pour moi ne rentrant pas dans la catégorie du religieux...
J'espère que vous profitâtes bien, vous aussi, de vos agapes pascales et de ces quelques heures de répit prises sur la frénésie habituelle de nos vies trop rapides...
J'en ai moi-même profité pour déconnecter quasi-complétement ; j'avais tout de même emporté l'ordi portable pour checker à intervalle régulier mes méls et rédiger un article pour le site
Paris15. Le téléphone portable ne me servit qu'à envoyer et recevoir quelques SMS ; je voulais rappeler quelques connaissances mais je n'en aurais finalement pas eu l'occasion... ni la volonté, dois-je dire !
Je suis rentré de mon week-end pascal hier soir vers 22 heures, après un trajet allongé d'une heure pour cause de suicide sur la voie de mon Nevers-Paris, ce qui m'a permis de terminer mon bouquin - Le Pouvoir de l'Instant Présent, tout à fait de circonstance - et de me reposer un peu dans le train immobilisé en pleine campagne... Je ressors de ce week-end au vert près de Nevers requinqué, reposé, ayant bien profité de (presque) toute ma famille (même le chat Pooka était là, qui fit les trajets aller et retour sans se départir d'un calme olympien, et dont tout le monde est (re)tombé amoureux) et ayant fait bombance sans exagération, sans parler des obligatoires chocolats de Pâques, ingurgités en quantité mais sans non plus d'effets secondaires malencontreux...
Point de crise de foie en cette période hautement spirituelle. Lors de ce week-end, j'ai d'ailleurs appris incidemment que Pâques célèbre la mort puis la résurrection de Jésus, première nouvelle, merci ! Je l'eu probablement su, mais cette connaissance était retombée dans les limbes de ma non pratique religieuse - et, du reste, dans les limbes de mon non intérêt pour la chose religieuse en général ; le bouddhisme pour moi ne rentrant pas dans la catégorie du religieux... 
J'espère que vous profitâtes bien, vous aussi, de vos agapes pascales et de ces quelques heures de répit prises sur la frénésie habituelle de nos vies trop rapides... J'en ai moi-même profité pour déconnecter quasi-complétement ; j'avais tout de même emporté l'ordi portable pour checker à intervalle régulier mes méls et rédiger un article pour le site Paris15. Le téléphone portable ne me servit qu'à envoyer et recevoir quelques SMS ; je voulais rappeler quelques connaissances mais je n'en aurais finalement pas eu l'occasion... ni la volonté, dois-je dire !