Derrière ce titre un peu provoc' (mais qui devrait m'attirer moult lecteurs par le truchement des moteurs de recherche et des mots clés afférents -- ils ne vont pas être déçus du voyage !!) je voudrais écrire quelques lignes sur la soirée au ZOO de ce samedi 04 novembre 2006. J'avais passé la journée à vaquer de ci, de là (rencontre intéressante avec Khazâd au Bistro Cambronne le matin à 11h30, cours d'informatique à 13h30 et longue promenade dans les rues du quartier pour aller voir notamment (dans le cadre de Paris15.fr) un nouveau pub - fermé - rue de l'Abbé Groult), et donc, après ces périgrinations, j'étais heureux de me poser un peu et surtout de retrouver l'ambiance chaleureuse du Zoo, et ses locataires du soir (non moins chaleureux.) J'arrivai sur les lieux vers 19h15, accompagné d'une Peupladienne qui ne voulait pas arriver seule, et nous commandâmes directement une petite boisson pour bien commencer, et nous réchauffer un tantinet. J'attaquai par un demi, mais je me rallierai un peu plus tard dans la soirée au fantastique Kir-maison (le Zoo Kir), dont la caractéristique principale est de contenir un peu de Cognac. Là encore, ça (r)échauffe ! Peu à peu tous les Peupladiens arrivent en ordre dispersé, et je reconnais des visages connus, ou bien j'accueille sympathiquement les visages inconnus. Il se trouve qu'il y en a un certain nombre ce soir, ce que j'apprécie. D'une part cela évite la routine de rendez-vous qui risquent de lasser, et d'autre part c'est le signe (positif) que Peuplade vit toujours, même après le pic d'inscriptions lié à la campagne de pub. Ce soir, nous avons des profils divers, des âges variés et des personnalités différentes, MAIS le point commun (n'est ce pas incroyable ?) c'est une même générosité humaine et une similaire empathie envers les participants, y compris nouveaux venus... C'est ce qui fait le charme de Peuplade, concept génial à plusieurs égards. Mais je m'égare !
Revenons à la soirée. Nous parlâmes un peu de tout (mais pas de rien) et la plupart des 15 participants restèrent dîner sur place, avec une nette prédilection pour le hâchis Parmentier, qui, je vous le dis comme je le pense, s'est révélé très succulent ! Nous commandâmes des Zoo Kirs (enfin surtout moi !) et des verres de vins en veux-tu en voilà. M'étant assis volontairement au milieu de la tablée en arrivant, j'eus le loisir de participer à plusieurs conversations simultanément, et de parler avec tout le monde. Nous étions dans la salle attenante au bar, et dans la partie restaurant proprement dite se tenait une fête d'anniversaire qui semblait fort animée, comme le sera certainement notre premier POTOZO, le 16 novembre. A ce sujet, je discutai un peu avec Daniel, le patron, des derniers développements liés à cette soirée prometteuse : nombre d'inscrits, possibilité d'inviter des musiciens... A mesure que le temps passait, quelques personnes quittaient les lieux, et nous nous retrouvâmes au bout du compte et de la nuit à une demi-douzaine, à tchatcher autours d'un verre (le mien !) et d'une boîte d'olives hardiment récupérée dans un proche distributeur par Sophie.
Sur les coups de 1 heure 30 du matin, nous évacuâmes l'endroit, et fîmes face au froid polaire qui régne depuis quelques jours maintenant sur Paris. Nous nous séparâmes en deux groupes pour plus de sûreté, et nous nous dispersâmes gaiement dans la nuit glaciale ; quant à moi je raccompagnai la Peupladienne avec laquelle j'avais fait le chemin à l'aller, et je rentrai à la maison vers 1 h 45 du matin, puisque je crèche non loin du Zoo. Et encore une soirée exceptionnelle à mettre sur le compte de l'atmosphère amicale et simple du Zoo, goupillée par l'ami Arnaud et dégoupillée avec prestance par Daniel. Moult photos furent d'ailleurs prises lors de la soirée, au grand dam des sujets aveuglés par tant de puissants flashes ! A la prochaine fois, cher Zoo !!