Mercredi 18 mars 2009 | Lu sur le site d'un quotidien régional, à l'occasion de la 9e Journée du Sommeil, ce jour. En tous les cas, moi j'essaye de faire des pauses de micro-sommeil, faute de quoi je serais déjà rétamé...
"Une étude de l’INSERM, qui vient de sortir, démontre que les sujets âgés qui dorment moins que les autres vivent moins logntemps. Plus palpable est la conséquence sur les routes : un accident sur trois a pour cause une somnolence au volant – contre un accident sur six dû à l’alcool et un sur dix dû à la vitesse ! La dette de sommeil se paie cash. Mais quelles réponses apporter ? La première chose à faire est d’identifier son besoin de sommeil et d’adapter son rythme de vie. Comme on ne pourra pas, en général, changer ses horaires de travail, on évitera le soir les excitants, l’alcool, le tabac, les somnifères. On se ménagera surtout un environnement favorable au sommeil : obscurité, silence et température à 18°. Ceux qui le peuvent ne négligeront pas quinze à vingt minutes de sieste quotidienne !"
• (*) Étude de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, réalisée en janvier dernier auprès de 1 000 personnes de 18 à 55 ans.