Et voici arrivé le beau mois de juin, annonciateur de jours meilleurs et, au niveau professionnel, de la fin de mes cours du soir à l'IUT de Paris et à Courbevoie ; je ne sais pas si les cours du soir à l'IUT seront reconduits l'année prochaine, puisqu'il semble que les crédits soient épuisés, bien que quelques promos n'aient pas encore obtenu leur DUT. Wait & see... Il me reste tout de même à plancher sur mon DST final, que j'administrerai avec joie le mardi 17 juin 2008. En revanche, les cours du soir à Courbevoie seront pérennisés dans le cadre d'un CDI débutant en septembre 2008. C'est plutôt une bonne nouvelle.
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Quelques beaux rendez-vous musicaux aussi en ce mois de juin commençant : outre la Fête de la Musique, sans doute passée partiellement ou intégralement au Comptoir, j'organise la seconde édition de la soirée JAZZ o'Comptoir, avec le super-groupe JET JAZZ, qui donna 
une prestation excellente et collectivement appréciée au Comptoir ce vendredi 30 mai 2008. Et les musiciens sont ô combien sympathiques ! Merci à vous, et à la prochaine fois ! La prochaine fois sera d'ailleurs le 14 juin, au Square Saint-Lambert, pour le festival AIR LIBRE.
une prestation excellente et collectivement appréciée au Comptoir ce vendredi 30 mai 2008. Et les musiciens sont ô combien sympathiques ! Merci à vous, et à la prochaine fois ! La prochaine fois sera d'ailleurs le 14 juin, au Square Saint-Lambert, pour le festival AIR LIBRE....
Quant au week-end qui vient de s'achever, il passa rapidement (comme souvent) mais fut très plaisant. Vendredi 30 mai 2008 au soir, donc, de retour de ROISSY, je me rendai o'Comptoir pour la soirée JAZZ sus-mentionnée. Le groupe s'arrêta de jouer vers minuit, et le temps de discuter en terrasse, c'est vers 1 heure 30 que je quittai les lieux, après avoir passé une très bonne soirée. Content d'avoir retrouvé quelques têtes connues, passé du bon temps et avoir écouté de la musique de qualité. Samedi 31 mai 2008 au matin, comme tous les samedis, je jogguai au parc Georges Brassens puis débriefai au Baranimo, avant que de rentrer prendre une douche et repartir pour assister à une conférence sur Salvador ALLENDE, conférence qui prit la forme d'une série de témoignages et de questions/réponses ; je fus content de découvrir enfin le lieu dans 
lequel ces causeries furent données, mais luttai avec difficultés contre la chaleur et la fatigue accablantes. L'une et l'autre me faisant du reste m'assoupir pendant de courts instants. Je me réveillai tout à fait pour la séance de questions/réponses. Le soir, autre ambiance au KFé-Couleurs, retrouvailles agréables avec un noyau dur de quelques Peupladiens amis, musique pêchue, et dégustation de Brouilly. Couchage tardif, fatigue accumulée. Le matin du dimanche 01 juin 2008 fut consacré aux préparatifs d'une après-midi que nous passerions à l'extérieur de Paris, dans un pavillon de banlieue sud. Bonne humeur, excellente nourriture, barbecue de circonstance, Champagne et rosé frais... que demander de plus ? D'aucuns diront : du temps et de l'énergie pour corriger certaines copies désespérantes et laborieuses. OUI, et je rends hommage à ceux-là. Mais, encore une fois, la correction signale aussi la fin de l'année universitaire, et annonce conséquemment des jours meilleurs, sans stress, avec moins de fatigue, et sans lutte acharnée contre le temps...
lequel ces causeries furent données, mais luttai avec difficultés contre la chaleur et la fatigue accablantes. L'une et l'autre me faisant du reste m'assoupir pendant de courts instants. Je me réveillai tout à fait pour la séance de questions/réponses. Le soir, autre ambiance au KFé-Couleurs, retrouvailles agréables avec un noyau dur de quelques Peupladiens amis, musique pêchue, et dégustation de Brouilly. Couchage tardif, fatigue accumulée. Le matin du dimanche 01 juin 2008 fut consacré aux préparatifs d'une après-midi que nous passerions à l'extérieur de Paris, dans un pavillon de banlieue sud. Bonne humeur, excellente nourriture, barbecue de circonstance, Champagne et rosé frais... que demander de plus ? D'aucuns diront : du temps et de l'énergie pour corriger certaines copies désespérantes et laborieuses. OUI, et je rends hommage à ceux-là. Mais, encore une fois, la correction signale aussi la fin de l'année universitaire, et annonce conséquemment des jours meilleurs, sans stress, avec moins de fatigue, et sans lutte acharnée contre le temps...