Lundi 22 décembre 2008 | Nous sommes encore en 2008 pour quelques jours... La fin de cette année-ci aura été fort chargée, comme aucune autre précédemment, me semble-t-il... Niveau boulot, niveau perso. Si je me retourne 30 secondes sur 2008, mais le constat se fera tout seul d'ici quelques jours, justement, je vois tout de même de belles choses, et notamment un dernier trimestre d'une rare félicité. Je m'apprête à partir pour la Nièvre, y passer Noël en famille, tout le monde sera là, je m'en réjouis. En plus j'ai une magnifique tenue de fête à étrenner ! En parlant de Rennes de Reine de renne, et comme vous pouvez le constater ci-contre, je me suis fait piquer mon nom par un animal sympathique !
Cette dernière ligne droite annuelle m'a également vu célébrer mon anniversaire, et pour la première fois depuis un lustre en douce compagnie. Je ne suis pas prêt d'oublier cette journée mémorable ; un grand merci à ma Bergère, avec qui les moments heureux passent aussi vite qu'un TGV Paris-Rennes... Le samedi 20 décembre 2008, donc, nous allâmes retrouver une copine qui organisait une journée portes ouvertes dans son Atelier de la rue des Bluets, où nous retrouvâmes ma tante, avant que de rejoindre quelques Peupadiens au restaurant Le Signal, où jouait mon amie BettyB et son groupe BaZic. J'eus droit à une spéciale dédicace sur un Pink Floyd des familles, et accessoirement à un bonnet de Père Noël qui complètera parfaitement ma tenue de Réveillon ! Nous nous éclipsâmes avant la fin, pour aller nous sustenter dans un restaurant excellent, Le Clos des Morillons, à l'accueil exemplaire et à la nourriture succulente. Mon magret de canard accompagné de ses poires, de son gratin dauphinois et de sa sauce au cassis fut merveilleusement roboratif. En dessert, une verrine de chocolat et un riz au lait au caramel au beurre salé à se damner. Le Chef, Gaël Allais, est breton, et gagne à être connu.
Le dimanche 21 décembre 2008 fut plus reposant, nous allâmes voir le dernier brûlot film des frères Cohen, Burn After Reading, une petite perle d'humour décalé, de personnages tous plus atteints les uns que les autres, un scénario qui tient mieux la route que les personnages qu'il implique, une ôde à la stupidité ordinaire... Il faut voir les gueules d'abrutis de Brad Pitt ou de George Clooney, qui cassent leur image avec une jubilation évidente. Un grand plaisir, ce film ! Bon, mes bagages sont faits, une grande valise pour les vêtements, une petite valise à roulettes pour les cadeaux, et bientôt, vogue la galère ! Galère toute relative puisque, outre le plaisir d'accompagner ma Bergère à la gare et celui de retrouver ma famille nivernaise, je me suis payé le luxe de voyager en première classe. Je suis heureux de passer ces fêtes de Noël avec toute ma famille, et je vous souhaite, chers lectrices et chers lecteurs, de passer de joyeuses fêtes itou, avec une pensée pour celles et ceux qui seront seuls en ces moments festifs.